Une régle de base tirée de mon expérience de la compétition est la suivante :
Ne modifiez qu'un seul et unique paramètre ou réglage à la fois !
Dans le cas contraire :
Au mieux (si la situation s'est améliorée) vous ne savez pas quel paramètre à joué.
Au pire (si la situation s'est dégradée) vous êtes complètement paumé dans vos réglages et il faut tout recommencer à 0 si bien sûr vous avez pris soin de enregistrer les réglages d'origine !
😉
SAAB 9.3 1.8t BioPower BVA 390 000 km intégralement au E85. <img class="go2wpf-bbcode" src="http://i15.servimg.com/u/f15/14/65/20/77/happyc10.gif">
Le Calvados, c'est de l'Ethanol !
c'est un peu se qui c'est passez pour moi... et... finalement tout est revenu dans l'ordre, sans avoir pris de repert rien... :s ça sert de lecon !
Le Webmaster Super5 1.2L gtr: 155 000km à carbu. 100% E85 sans aucune modif
C'est une démarche scientifique.
Pour optimiser une conversion:
1) Lister tous les paramètres sur lesquels on peut intervenir. Dans mon cas, une voiture à carburateur: Gicleur principal, gicleur de ralenti, richesse de ralenti, avance à l'allumage.
2) Faire un tableau avec les rubriques: Date+heure / Température / Gicleur principal / Gicleur ralenti / Vis de richesse desserrée de X tours / Observations
3) Faire des essais en remplissant une ligne à chaque essai, et en notant scrupuleusement les résultats. On ne modifie qu'un seul paramètre à la fois.
Si on se plante, il suffit de chercher une ligne avec de bons résultats, de remettre les paramètres de cette ligne et on est sauvé!